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482. (1899) Esthétique de la langue française « Le vers libre  »

L’alexandrin n’a aucun rapport, ni de filiation, ni de parenté, vers syllabique, avec l’hexamètre, vers métrique, disparu avec la métrique latine elle-même, lors de la formation des langues novo-latines, où les mots, trop contractés (latrocinium-larcin), se refusent aux jeux savants de la prosodie. […] Kahn, aussi savant et aussi réfléchi, y échoue complètement. […] Celui-ci est d’un rythme plus savant (trois, quatre, trois, six) : Aux margelles des puits profonds qui s’ignorent en ses [yeux inconnus.]

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