Curieux détails sur les savants Y… et Z…, sur ces Germains qui ne sont pas plus savants que d’autres, mais que la mode du germanisme dans le monde actuel de la science, a poussés à des fortunes ironiques. L’un des convives de Magny a connu le savant Y…, humble, pauvre, misérable, et joueur de piano dans sa mansarde, comme tous les Allemands. Il le retrouve avec une cravate à pois roses, en un costume ébouriffant, le costume qu’on peut imaginer d’un savant allemand, travesti en gandin : « Vous me trouvez un peu changé, n’est-ce pas ? lui dit le savant. […] Elle s’est élevée contre les grands exemples de domination de ces femmes, honorées de la fréquentation des philosophes, des hommes de lettres ; des savants, des penseurs, contre la puissance de ces fillasses n’ayant point pour excuse un art, un talent, un nom, le génie d’une Rachel, et chez qui les plus purs vont manger les truffes de la courtisane.