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26. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Guillaume Favre de Genève ou l’étude pour l’étude » pp. 231-248

Était-ce Chloridos qu’il fallait lire, ou Locridos comme le voulait le savant Bentley ? […] La Bibliothèque publique de Genève possède, entre autres manuscrits précieux, celui d’un poème latin de Jean-Marius Philelphe, savant du xve  siècle. […] Il y a les éléments d’un tableau complet des lettres en Italie et de la condition des savants dans ce siècle. […] Favre n’a préparé qu’un exact et savant mémoire, comme eût fait un bénédictin. […] Il n’avait point comme Letronne, autre savant avec qui il eut quelques points de contact et dont il a mérité l’éloge, le besoin de contredire, de détruire.

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