Je n’avais pu supporter le finale de Roméo et Juliette ; celui de l’Agnese seul m’a fait pleurer sans me déchirer le cœur. » Est-ce par l’effet d’un choix sympathique et de quelque prédilection, qu’elle se donna, vers la fin, à traiter ce sujet d’Héloïse et d’Abeilard, où la passion traverse et pénètre l’austérité, où l’abbesse savante, qui a des soupirs de Sapho, les exprime souvent en des traits de Sénèque ?