Jusque-là, en effet, chaque parti triomphant avait été pour le parti abattu un vainqueur, peut-être injurieux, mais non cruel, plus jaloux de l’existence politique de son rival que de son sang.
Jusque-là, en effet, chaque parti triomphant avait été pour le parti abattu un vainqueur, peut-être injurieux, mais non cruel, plus jaloux de l’existence politique de son rival que de son sang.