Pendant toute sa vie, autant de forfaits, autant de sacrifices : les maisons regorgeaient du sang des hommes ; le sang des animaux ruisselait aux autels des dieux. […] Telle fut l’entrée de Néron, couvert et fumant du sang de sa mère (TACIT. […] Les soldats, ses affranchis, ses esclaves fermèrent ses blessures et arrêtèrent son sang. […] Et tandis que le sang des bons citoyens coule, on continue de remercier les dieux. […] Rome, que le sang des nations a été bien vengé dans tes propres murs !