Avec le roman et le théâtre, elle constitue la Littérature une et entière et la grande révolution qui transformera les deux autres genres, la renouvellera de la même manière comme le sang circule dans toutes les parties du corps. […] Le peuple est loin de posséder cette science et l’on voudrait que la raison du nombre le nantît du droit de décider de notre destinée — après l’avoir refusé à l’élite qui y consacre cependant sa supériorité — cette élite nouvelle qu’on aperçoit composée non d’une aristocratie de sang ou de fortune, mais des intelligences prédominantes de la nation ?