Il fut pourtant attaqué sur ses Saints de l’ordre de saint Benoît, sur sa Diplomatique, et sur sa Lettre contre le culte des saints inconnus. […] « Il se levait ordinairement dès deux heures du matin, et il continuait ses études jusqu’à l’heure du dîner, sans autre interruption que celle de la prière et de la sainte messe et de l’office divin. […] Pendant tout le séjour qu’il fit au monastère, il n’interrompit point ses exercices de piété, disant chaque jour la messe sur le tombeau de saint Bernard « et avec le calice même dont le saint s’était servi ». […] De place en place, je reconnais les plus célèbres vers de Virgile ou d’Horace, une allégorie du Phèdre de Platon, les images fameuses des livres saints. […] À l’ordinaire, il détend, il attendrit le rude génie hébraïque, et substitue aux brusques éclats, à l’intense énergie des livres saints, l’égalité suave et les teintes douces de son style.