Un grand ennemi de la foi, en rapportant ces faits, déclare qu’il ignore par quel concours de circonstances heureuses le Panthéon fut conservé jusqu’au moment où, dans les premières années du septième siècle, un souverain pontife le consacra à tous les saints. […] Tous les saints à la place de tous les dieux ! […] Les dieux du christianisme sont les saints. […] Il est le premier partout, et tous les saints n’entrent qu’à sa suite. […] L’erreur aux cent têtes a fui devant l’indivisible vérité : Dieu règne dans le Panthéon, comme il règne dans le ciel, au milieu de tous les saints.