Dans ce livre, M. de Vigny essaya de tracer comme l’Évangile littéraire moderne : il y posa l’antithèse perpétuelle du poète et du politique, de l’homme de pensée et de l’homme de pouvoir ; celui-ci n’était que le pharisien : il assigna au premier sa mission toute sainte, toute désintéressée, toute pure.