De ces incroyables aberrations d’un esprit qui voudrait être pris au sérieux, je ne veux retenir que les quelques lignes suivantes, à propos de la scène célèbre de la forêt. […] Je fus capable de prendre Wagner au sérieux. […] Il n’est pas plus sérieux quand il parle de la musique. […] Pour ce qui est de Robert Schumann, qui, dès le début, prit sa tâche au sérieux et qui fut également pris au sérieux, — il est le dernier qui ait fondé une école, — n’est-ce pas aujourd’hui un bonheur pour nous, un soulagement, presque une délivrance que justement le romantisme de Schumann ait été surmonté ? […] Ailleurs, Nietzsche est plus sérieux : par exemple, lorsqu’il cherche à analyser ce qu’on appelle le plaisir esthétique.