Elle est pour les bonnes ménagères un avertissement de bien veiller à leur linge. » Puis le même Rhymer veut bien cesser de rire et prendre Shakespeare au sérieux : « … Quelle impression édifiante et utile un auditoire peut-il emporter d’une telle poésie ? […] Une certaine école, dite « sérieuse », a arboré de nos jours ce programme de poésie : sobriété. […] Shakespeare est un des plus mauvais sujets que l’esthétique « sérieuse » ait jamais eu à régenter.