Je ne connais pas en français d’œuvres qui présentent d’analogies sérieuses avec celle-ci. […] La question que j’ai abordée, si elle se rattache par certains côtés à ce concours, me semble toutefois beaucoup plus profonde, beaucoup plus sérieuse et aussi beaucoup plus difficile à résoudre que celle du concours lui-même. […] Il y a en eux comme une défiance des nouveautés bizarres, comme un retour au sérieux du classicisme. […] Un mouvement intellectuel sérieux se prépare dans la génération qui monte. […] Mais là encore nous nous heurtons à une redoutable difficulté et à une constatation pénible : le public ne lit presque plus les livres sérieux.