. — On peut diviser les Œuvres de Renan en trois principaux groupes, selon qu’elles se rapportent à l’érudition pure, à l’histoire générale des religions ou du christianisme en particulier, ou à ce qu’on appellerait la philosophie, s’il ne convenait, dans ce dernier groupe, de distinguer les Œuvres vraiment sérieuses, et celles qui ne relèvent que de la fantaisie. […] 3º Les Œuvres. — En dehors de ses traductions d’Edgar Poe, Histoires extraordinaires, 1856 ; — Nouvelles histoires extraordinaires, 1857 ; — Histoires grotesques et sérieuses, 1865 ; — et de ses Fleurs du mal, 1857 ; on ne voit rien de Baudelaire qui mérite encore d’être signalé, si ce n’est ses Paradis artificiels ; — et quelques « Notices », très étudiées, qu’il a écrites pour le Recueil des poètes français d’Eugène Crépet.