Alors, revenant à son roman carthaginois, il nous conte ses recherches, ses lectures, les volumes de notes qu’il a prises, disant : « Savez-vous toute mon ambition ? […] Sur sa table des pages de son roman qui ne sont que ratures. […] La dernière fois qu’il y passa, se rendant à Tunis à l’occasion de son roman de Carthage, il ne retrouve plus la maison, qu’à chacun de ses passages il avait été voir. […] Il regrette un volume d’environ 150 pages, composé l’année qui a suivi sa philosophie : la visite d’un jeune splenétique à une fille, un roman psychologique trop plein, dit-il, de sa personnalité. […] Car il nous faut faire pour notre roman de Sœur Philomène, des études à l’hôpital, sur le vrai, sur le vif, sur le saignant.