/ 1822
376. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « M. De Pontmartin. Causeries littéraires, causeries du samedi, les semaines littéraires, etc. »

Quand il parle de ce qu’il sait bien et de ce qu’il ne se croit pas tenu d’anathématiser au nom d’un principe, — des romans de Charles de Bernard, des nouvelles de M.  […] M. de Pontmartin n’est pas seulement une plume fertile en articles critiques ; il est auteur de nombreux romans, et de romans qui ont la prétention de reproduire les mœurs et le ton du monde, et de respecter la saine morale. […] Je dois insister, car c’est sur la morale que M. de Pontmartin lui-même insiste le plus souvent quand il juge les romans des autres. […] M. de Pontmartin a bien soin, en passant, de nous faire remarquer que c’est là un marquis véritable et comme on n’en rencontre pas au théâtre et dans les romans du jour. […] C’est une de ces dernières que M. de Pontmartin a préconisée dans ce petit roman, dont franchement la morale me paraît détestable, parce qu’elle est inhumaine.

/ 1822