La pièce de mœurs, comparée au roman de mœurs contemporain, est trop une misère, une parodie, un rien. […] » Le mot donne parfaitement le criterium littéraire de la femme en fait de romans. […] Des types à fouetter dans un roman. […] * * * — L’idéal du roman : c’est de donner avec l’art, la plus vive impression du vrai humain, quel qu’il soit. […] Il finit en disant : « Oui, vous avez raison, mon roman déraille… Il ne fallait que trois personnages.