Ce roman devait être donné en prime aux abonnés du Figaro d’alors et était annoncé depuis longtemps, avec force réclames, pour le 15 décembre 1837. […] C’est avec raison qu’Ourliac ajoute que le roman de César Birotteau « fut composé en vingt jours par M. de Balzac, malgré l’imprimerie, composé en vingt jours par l’imprimerie, malgré M. de Balzac1. » Un ancien éditeur, M. […] Le roman, nettoyé de ses imperfections, paraissait dans la Revue. […] Il n’en était pas de même pour ses romans. […] — Il aurait fallu autant de temps pour corriger ces romans que pour les écrire, disait Planche non sans dédain.