En admirateur du xviie siècle, il permettait sans doute à madame de Sévigné ses lettres, à madame de La Fayette ses tendres romans ; il aurait passé à madame de Staël ses Lettres sur Jean-Jacques, comme probablement il tolérait ses vers d’élégie chez madame Dufrenoy ; mais c’était là l’exception et l’extrême limite.