Il reproche à son fils de devenir traditionnaliste et dogmatique, de préférer l’enseignement de saint Paul à celui du Christ, d’être de ces âmes qui « se croient perdues dès qu’elle ne sentent plus, auprès d’elles, tuteurs, rampes, et garde fous, qui tolèrent mal chez autrui une liberté qu’elles résignent, et qui souhaitent d’obtenir par contrainte tout ce qu’on est prêt de leur accorder par amour. » L’Epitre aux Romains lui déplaît particulièrement et il refuse de la faire lire à Gertrude. […] M. Romains, il faut préférer les moindres amusettes, pour cette cause qu’un écho passablement tourné éclipse tous les manuels de l’Alma mater, qu’un boute-en-train d’estaminet l’emporte sur le plus docte des pédants, et qu’une petite image de la vie vaut mieux que tous les reflets des bibliothèques. M. Jules Romains a trop fréquenté Molière pour douter de ces vérités. » Quel rapport entre un écho et un manuel ?