Nous voilà loin de la « Petite fleur bleue au cœur d’or » et des appels de d’Albert aux colosses du monde antique : « Tibère, Caligula, Néron, grands Romains de l’Empire, ô vous que l’on a si mal compris et que la meute des rhéteurs poursuit de ses aboiements, je souffre de votre mal ! […] S’il avait eu un mot d’ordre à nous donner en mourant, nul doute que cet infatigable tâcheron n’eût choisi celui de l’empereur romain : « Laboremus », et il n’eût certes pas ajouté comme le veut une ironique légende : « Ceterum nil expedit. […] Chateaubriand parlait du Torse antique, du Laocoon, puis de l’Apollon du Belvédère, et une comparaison suivait entre l’art grec et l’art romain, qui le conduisait à une éloquente opposition entre l’Italie et l’Attique.