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426. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface des « Derniers Jours d’un condamné » (1832) »

Il faut donner mal aux nerfs aux femmes des procureurs du roi. […] Comment donc les gens du roi comprennent-ils le mot civilisation ? […] L’édifice social du passé reposait sur trois colonnes, le prêtre, le roi, le bourreau. […] Dernièrement une autre voix s’est élevée et a crié : Les rois s’en vont ! […] À ceux qui regrettent les rois, on peut dire : la patrie reste.

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