/ 2168
243. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Gui Patin. — II. (Fin.) » pp. 110-133

Il faut dire la même chose du roi. […] Il veut le maître, le roi, mais point de ses serviteurs ni de ses ministres. […] Si le jeune roi est malade, il faut voir comme Gui Patin s’intéresse aux moindres circonstances de sa santé : il aime le roi de toute la haine qu’il porte au Mazarin et à ses entours, et de quelque chose de plus encore, d’un vieux sentiment français héréditaire. Dans la campagne de 1658, le jeune roi tombe dangereusement malade à Calais ; il guérit, mais pour avoir pris du vin émétique, dit-on. […] Il fut soupçonné d’avoir introduit en France des libelles contraires au roi ou aux personnes royales.

/ 2168