C’est à Alger qu’on les transporte : la belle Elvire, donnée comme esclave au roi du pays, est respectée par lui et traitée mieux qu’à la française. […] Ce grand roi avait régné trop longtemps ; il en était résulté, durant les quinze ou vingt dernières années, un régime convenu et hypocrite sous lequel couvaient et levaient déjà la tête les vices et les ridicules d’un certain genre, qui n’attendaient plus que le jour et l’heure pour déborder.