Il n’y a de roi légitime que moi. […] Cette prose de Quinet, si elle avait des rimes, ne ressemblerait-elle pas d’une manière frappante aux vers de Victor Hugo, ce Roi des tambours ?
Il n’y a de roi légitime que moi. […] Cette prose de Quinet, si elle avait des rimes, ne ressemblerait-elle pas d’une manière frappante aux vers de Victor Hugo, ce Roi des tambours ?