Le rire amer de Villiers de l’Isle Adam et le tragique de Barbey d’Aurevilly persistent ici. […] Il ne faut pas oublier qu’il a pris naissance sous des cieux brumeux et moroses, où le rire est parfois un effort. […] Et il a ri des gestes diminués, des pensées diminuées, des décors diminués. […] Tu ris avec ta petite bouche et tes jolies dents. […] Je vais vous le dire : l’auteur nous fait, en un beau style, un récit bien vivant… Il n’en faut pas davantage pour commander aux rires et aux pleurs.