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562. (1891) Essais sur l’histoire de la littérature française pp. -384

Quelle fécondité inépuisable dans la peinture des ridicules ! […] Il est conforme à l’humeur de la comédie de grossir nos ridicules et même de nous en prêter d’invention pour exciter plus sûrement le rire. […] Tel ou tel détail, ridicule ou triste, ne tombe-t-il que sur Charles ? […] Sa conduite, à partir de cette époque jusqu’à la mort de Louis XIV, fut un chef-d’œuvre de courage, de fermeté digne, d’adresse et de ridicule. […] La distraction ne suffit point ; elle n’est ni péché ni vice ; il y aurait de la rigueur à prétendre qu’elle soit toujours un ridicule.

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