La troisième loi arbitraire que les traducteurs ont subie, c’est la contrainte ridicule de traduire un auteur d’un bout à l’autre. […] Il ne faudrait pas qu’il ressemblât à ce ridicule enthousiaste d’Homère, qui, ayant entrepris de souligner, dans les ouvrages de ce grand poète, tout ce qu’il y trouverait d’admirable, eut, au bout de trois lectures, souligné son livre d’un bout à l’autre.