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480. (1759) Observations sur l’art de traduire en général, et sur cet essai de traduction en particulier

La troisième loi arbitraire que les traducteurs ont subie, c’est la contrainte ridicule de traduire un auteur d’un bout à l’autre. […] Il ne faudrait pas qu’il ressemblât à ce ridicule enthousiaste d’Homère, qui, ayant entrepris de souligner, dans les ouvrages de ce grand poète, tout ce qu’il y trouverait d’admirable, eut, au bout de trois lectures, souligné son livre d’un bout à l’autre.

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