On n’a généralement retenu d’elles que le souvenir de leurs ridicules, et il faut avouer qu’elles en ont eu beaucoup, dont la comédie de Molière et la satire de Boileau nous dispensent de parler ici plus longuement. […] Si ce vers de Scudéri n’était quelque peu ridicule, ce serait le moment et le lieu d’en faire une juste application. […] Il n’est pas facile, et il serait assez ridicule de raconter « oratoirement » les aventures de Gil Blas. […] Corneille : Les Engagements du hasard, 1647 ; — Le Feint Astrologue, 1648 ; — de Scarron : L’Héritier ridicule, 1649 ; — de Th. […] Corneille : Le Geôlier de soi-même, 1655 ; — de Quinault : La Comédie sans comédie, 1655 ; — de Scarron : Le Marquis ridicule, 1656.