Puis, c’est : Faire sans dire, amusante critique de nos précieux ridicules de la littérature et de l’art, des raisonneurs qui ne savent pas que l’instinct prime tout, et que toutes les psychologies du monde s’épuiseront à tenter de jeter une lueur sur des questions qu’un rayon de bon sens éclairera comme ferait un rayon de soleil. « Le Bon Fou », « l’Horreur du banal », « le Fainéant », sont des morceaux charmants et qui viennent à propos en ce moment de désarroi de goût et de logique. […] Émile Ollivier, cette dernière appréciation friserait le ridicule, elle n’est que juste quand il s’agit de lui. […] Je me rappelle avoir vu jadis une lithographie ridicule montrant « Molière étudiant l’humanité chez un perruquier de Pézenas ». […] Beaucoup, sans doute, ne saisiront pas l’opportunité de ce rapprochement, qu’ils trouveront inconvenant ou ridicule.