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425. (1882) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Deuxième série pp. 1-334

Aussi, Massillon n’est-il pas moins riche ni prodigue de périphrases que d’antithèses. […] Quels sont, par exemple, les témoins de la magnificence des riches de ce monde ? […] Mais non : riches et pauvres, n’en tirez pas absolument cette conséquence ; s’il y a des riches dans l’enfer, on y verra pareillement des pauvres, et tous les riches n’en seront pas exclus69. » Et de là, passant à l’application : « Il est difficile, continue-t-il, qu’un riche entre dans le royaume du ciel. […] Il était riche. […] Massillon, encore ici, construit son sermon comme le sermon Sur le mauvais riche.

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