Un particulier peut même mettre dans son cabinet, tout l’esprit et toute la poësie qui sont dans des chef-d’oeuvres, dont les beautez sembloient reservées pour les cabinets des princes, ou de ceux qui se sont rendus aussi riches qu’eux en maniant leurs finances. […] Il est de beaux poëmes sans vers, comme il est de beaux vers sans poësie, et de beaux tableaux sans un riche coloris.