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186. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre V. Séductions pour la compréhension de la psychologie indigène. — Conclusion »

—Le riche et son fils). — « Il n’est personne au monde qui ne trouve plus fort que soi » (Hâbleurs bambara et divers analogues signalés plus haut) […] Lui confie-t-on un secret, elle s’empresse de le trahir par étourderie ou par malignité (Guéhuel et damel — Le koutôrou porte-veine — Le riche et son fils — Malick-Sy)116. Dans le conte de Diadiâri et Maripoua, celle-ci, qui avait offert sa vie en sacrifice pour sauver Diadiâri, le trahit ensuite pour un amant qu’elle croit plus riche et tend à ce dernier l’arme qui doit tuer son mari.

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