… Il appelle Barthélémy un géant, et ce mot de géant revient souvent sous sa plume. […] « Les eaux du torrent remontent à leur source avec les nuages du ciel pour s’épancher de nouveau dans les vallées ; les arbres fleurissent tous les printemps ; le soleil ne se lasse point d’éclairer et de féconder la terre ; les oiseaux qui partent avant l’hiver reviennent avec les beaux jours ; mais, hélas ! […] Veyrat, au contraire, de la démocratie violente et à main armée, passait et revenait au catholicisme absolu comme à l’unique remède social. […] Je reviens maintenant, et du temps accompli, Sire, à Dieu comme à vous, je demande l’oubli ! […] Sa réputation, qui s’est faite lentement, mais qui s’est faite enfin dans son pays, mérite de sortir de ses vallées et d’arriver ou de revenir jusqu’à nous.