restée : « Littérature facile », il n’entendait parler que des inventions de ce temps-là, que des compositions dans lesquelles cependant l’imagination s’efforçait de tenir sa place encore ; mais assurément il ne prévoyait pas que, grâce à toutes sortes de circonstances, une littérature plus facile que celle qu’il déshonorait de ce nom éclorait au sein de la première, déjà si aisément épanouie, et la panacherait du foisonnant éclat de ses facilités nouvelles ! […] Nous n’entendons pas clouer l’homme à son seuil, — quoiqu’il fût certainement plus original et plus fort s’il y restait et que l’éducation du talent se fasse d’elle-même avec puissance dans tous les milieux. […] Mais tout cela restera inférieur pourtant, parce que l’ouvrage de Fromentin n’est rien de plus qu’un livre de voyage individuel et pittoresque, quoiqu’il le soit moins que bien d’autres, — des pages sur des pages, des descriptions sur des descriptions !