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1718. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « Oscar Wilde à Paris » pp. 125-145

Moréas, capricieux et changeant, soucieux de ses aises, qu’il ne trouvait nulle part et qui ne s’installait dans un endroit que le temps d’y découvrir d’excellentes raisons de décamper, resta néanmoins fidèle à la Côte d’Or durant trois ou quatre saisons. […] * *   * Parmi les dîners de la Côte d’Or, restés célèbres dans les fastes littéraires de l’heure, figure celui qui réunit, pour la première fois, Oscar Wilde et les poètes romans.

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