Mais, de tant d’œuvres du grand poëte, il n’est resté que la portion presque la plus profane. […] « Ce que je dois faire pour te plaire, ô dieu de la foudre, fils de Cronos, pour être aimé des Muses et pour rester sous la garde du calme heureux de l’âme, voilà ce que je demande de toi12. » Une telle foi, un tel amour devaient inspirer d’autres images que les souvenirs de la fable, un autre sublime que celui d’Homère. […] Mais, son cœur resta dorien et monarchique, si cet anachronisme de langage est permis.