Il remit les affaires à M. de Fontenay, premier secrétaire d’ambassade, comme cela se fait ordinairement dans les circonstances équivoques, afin de pouvoir désavouer des hommes secondaires, et il resta de sa personne à Naples encore quelque temps, pour recevoir des instructions de Paris. […] Je lui restai toujours attaché de cœur jusqu’à sa mort. […] Tout resta dans le calme habituel de cette capitale de la religion, de la science et des arts. […] Les émigrés, ses contemporains, très légers au commencement, étaient devenus moroses et pédantesques en vieillissant ; ils reprochaient à M. de La Maisonfort d’être resté jeune malgré ses années. […] Je restai l’ami de mon adversaire, qui rentra plus tard dans sa patrie et devint général.