Je resterai seul ! […] Après le départ de madame de Goethe et de ses enfants, je restai seul avec Goethe. […] — Aussi longtemps qu’il fera jour, dit Goethe, nous resterons la tête levée, et tout ce que nous pourrons faire, nous ne le laisserons pas faire après nous ! […] combien je suis fâchée qu’il ne soit pas resté, et que je n’aie pas eu le bonheur de faire sa connaissance ! […] En un mot, nous étions tous très contents les uns des autres, et je passai avec cette famille de si heureux jours, que leur souvenir est toujours resté pour moi extrêmement agréable.