Le finale est bien ; quelque chose reste à désirer pour la parfaite justesse. […] Est-ce le poète solennel, est-ce un reste de provincial en lui qui est sur ses gardes, qui est susceptible, qui craint qu’en badinant on ne porte atteinte à sa considération, à sa dignité ? […] Au reste, quand le plus froid même et le plus sage est une fois piqué de cette mouche qu’on appelle l’esprit de parti et de coterie, il peut commettre des fautes d’entraînement.