Il se peut que, dans la « Physique » et dans la « Météorologie » des temps modernes, il ne se retrouve pas un mot des traités d’Aristote qui portent ces titres ; Aristote n’en reste pas moins le fondateur de la science de la nature. […] Jésus reste pour l’humanité un principe inépuisable de renaissances morales. […] La grande originalité du fondateur reste donc entière ; sa gloire n’admet aucun légitime partageant.