Car ôtez Bossuet, ôtez Fénelon : que reste-il ? […] Le reste va suivre comme nécessairement. […] Je ne sais s’il y a quelques femmes qui goûtent ce qu’il y a dans ces vers d’involontaire hommage à leur toute-puissance ; mais le reste, si je ne me trompe, n’en sent que le mépris, et le reste a raison. […] Et ce ne sera pas sur une certaine matière, sur laquelle il ne reste rien à dire ? […] Il vous reste alors une petite question à résoudre : comment chaque maître, en y restant fidèle, a-t-il su pourtant demeurer lui-même ?