Ce rat faisait beaucoup souffrir le délicat et harmonieux poète ; il ne ressemblait pas à son grand-père, qui avait intenté un procès à un peintre lequel, en peignant les vitres de la maison, s’était avisé d’y mettre, au lieu du rat, un sanglier. […] Je dis le bien que je peux, je le désire et je le cherche ; mais j’ai toujours, malgré moi, présent à l’esprit certain Portrait de Racine fils en quelques lignes, que l’abbé de Voisenon a tracé de sa plume la plus médisante ; et, par malheur, on sent que cette méchanceté doit ressembler ; le voici : RACINE FILS.