Les horizons qui s’ouvrent à nous sont si beaux que je doute qu’à aucune époque l’homme ait eu plus de raisons de vivre d’une vie sublime : pas même en cette magnifique Renaissance dont on ne peut trop admirer le génie, pas même en ce siècle héroïque de Périclès, où les hommes nous paraissent ressembler à des dieux !