Rien ne ressemblait plus alors au poétique encadrement de l’apparition de Terni ; la scène avait changé, mais non la personne ; les années l’avaient embellie encore. […] Elle ressemblait à la Niobé, cette mère des douleurs du paganisme.
Rien ne ressemblait plus alors au poétique encadrement de l’apparition de Terni ; la scène avait changé, mais non la personne ; les années l’avaient embellie encore. […] Elle ressemblait à la Niobé, cette mère des douleurs du paganisme.