On lui a dû de refaire sa comédie telle que nous l’avons, et, plus tard, un autre génie a repris le canevas musicalement et a fait la sienne. […] C’était le prince de Conti qui, après Le Barbier de Séville, avait porté à l’auteur le défi de reprendre ainsi son Figaro et de le montrer une seconde fois dans des circonstances plus développées, plus fortement nouées et agrandies.