Saint-Bonnet s’est contenté de la reprendre, mais ce qui lui appartient en propre, et j’oserais presque dire exclusivement, c’est la manière dont il l’a reprise. […] Il faut que l’âme se reprenne en sous-œuvre, à partir du commencement.
Saint-Bonnet s’est contenté de la reprendre, mais ce qui lui appartient en propre, et j’oserais presque dire exclusivement, c’est la manière dont il l’a reprise. […] Il faut que l’âme se reprenne en sous-œuvre, à partir du commencement.