Armand Silvestre n’oserait, à l’exemple de Béroalde de Verville, intituler un recueil de contes le Coupe-cul de la mélancholie ; mais volontiers il reprendrait le Triomphe de l’Abbaye des Cornards.
Armand Silvestre n’oserait, à l’exemple de Béroalde de Verville, intituler un recueil de contes le Coupe-cul de la mélancholie ; mais volontiers il reprendrait le Triomphe de l’Abbaye des Cornards.