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398. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Benjamin Constant et madame de Charrière »

À présent je me dis : Si on me rend la vie trop dure, j’ai une retraite à Colombier. […] Puisse la mienne vous rendre le même service ! […] Chaillet s’intéresse à quelque chose que je fais, et cet orgueil me rendra peut-être moins docile, mais non pas moins reconnaissant. […] Votre idée me rend toujours une partie de la vivacité que m’ont ôtée les malheurs, la faiblesse physique, et mon long commerce avec des gens dont je me défie. […] Il est vrai qu’il ne se rendait pas trop compte de la manière de l’opérer.

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