C’est d’après cet ouvrage précieux à la littérature que j’ai entrepris de rendre une des plus singulières tragédies de Shakespeare. […] La scène se passe en Arabie, sous la tente, et nous rend ou veut nous rendre des mœurs bibliques, patriarcales. […] Le sentiment du désert et de l’immensité, de la fuite à travers les sables, est assez bien rendu en bien des endroits : un air brûlant y circule.